Titre | Note | Mois | Realisateur | Commentaire |
RRRrrr!!! |  | Février | Alain Chabat | Allez, peut-être 3 minutes et 10 secondes de scène rigolotes. L'absurde cotoie la parodie sans jamais vraiment faire mouche. |
21 Grammes |  | Janvier | Alejandro González Inárritu | Le réalisateur parvient, à l'aide d'une réalisation précise et artistique, à sublimer le talent des acteurs qui se déchirent pour nous donner cetté émotion intense. Le suspense est parfait, le film aussi. |
Immortel ( ad vitam ) |  | Avril | Enki Bilal | Quelle ambiance ! Même si le mariage Synthèse-Humain n'est pas toujours symbiotique, les atouts de la BD se retrouvent dans cette fresque SFionesque !. |
Ma vie sans moi |  | Janvier | Isabel Coixet | Une histoire qui semblait plutôt intéressante. Comment vivre un drame de manière froide et déterminée ? Mme Coixet y parvient mais ne reste pas efficace jusqu'au bout, cette froideur nous a un peu trop refroidis... |
Deux frères |  | Avril | Jean-Jacques Annaud | Il faut avouer le JJ a poussé fort le côté familial de ce nouvel opus animalier. Il en reste néanmoins une formidable maîtrise des animaux, de leurs réactions poussant le réaliste et son émotion à l'extrème |
Cause toujours ! |  | Juillet | Jeanne Labrune | Ce film est assez mal dirigé tant les acteurs cafouillent en cadence. L'originalité du scénario vient donner un petit ballon d'oxygène juste avant la fin mais ca ne suffit pas. |
Coffee and cigarettes |  | Avril | Jim Jarmusch | Cet ensemble de court-métrages démarre dans un décalage intéressant de la vie des stars. Il se poursuit malheureusement de plus en plus lentement de ce crénau. La méconnaissance personnelle des starts m'a sûrement achevé du plaisir. |
Just a kiss |  | Juillet | Ken Loach | Cette confrontation des cultures, personnes et religions est merveilleusement interprétée et filmée. |
Fahrenheit 09 / 11 |  | Juin | Micheal Moore | Un sans faute pour cette démonstration sans faille. Le sujet est maîtrisé et nous laisse sans voix. Le genre va s'épuiser non Mick ?. |
Viva Laldjérie |  | Mai | Nadir Moknèche | Un attachant tableau d'Alger et de ses contraintes quotidiennes. Le réalisateur nous pose de superbes plans de la ville et les acteurs s'attachent à nous faire vivre leus personnages avec une émotion sans réserver. |
Uzak |  | Janvier | Nuri Bilge Ceylan | Un jeu d'acteurs pas si extraordinaire que ça même s'ils sont bons, photo et image très soignées, scénario inexistant, trop long et creux quand même. |
Confidences trop intimes |  | Mars | Patrice Leconte | Une superbe prestation de Luchini et Sandrine, le premier à contre-emploi, la seconde envoutante. La seule frustration de ce film réside dans l'absence de relation amoureuse entre ces deux-là. |
Monster |  | Avril | Patty Jenkins | Un sujet grave dont l'approche originale nous plonge dans le monde de la prostitution merveilleusement interprété. |
La mauvaise éducation |  | Mai | Pedro Almodovar | Religion, pédophilie, homosexualité, transexualité, drogue. Pedro nous met le paquet et cela pourrait paraître un peu trop. Il n'en est rien, la caméra saisit ces vies interdites sans complexe, l'interprétation des personnages est sincère et sans faille. Un grand moment de cinéma. |
Master and commander : de l'autre côté du monde |  | Février | Peter Weir | Une super réalisation et une photo impeccable. Une histoire méchants/gentils trop stéréotypée. Des personnages inexistants de personnalité ou trop bateau ( le jeune mousse, le jeune chef, ... ). |
Company |  | Mars | Robert Altman | Le scenario est spécialement vide mais la beauté de la photo et des corégraphies est telle que ce Company là n'est pas bad quand même.. |
Osama |  | Mars | Sedigh Barmak | Je crois que le thème s'épuise. Même si le jeu des acteurs est criant de vérité ( autant criant que le mode de la vie là-bas ), le manque d'émotions de ce film n'arrive pas a être contrebalancé par la justesse de la mise en scène. |
Lost in translation |  | Janvier | Sofia Coppola | Des acteurs brillant qui relèvent pas mal cette fresque neo-décandante japonaise. La réalisation surprend mais le scénario comporte des longueurs. La note tient compte de la prestation de Bill. |
Starsky et Hutch |  | Avril | Todd Phillips | Une reproduction un peu plus moderne de la série mais néanmoins fidèle. La vision de ce film laisse quand même supposer que la série a pris un sérieux coup de vieux. |
Podium |  | Mars | Yann Moix | Je crois que le thème s'épuise. Même si le jeu des acteurs est criant de vérité ( autant criant que le mode de la vie là-bas ), le manque d'émotions de ce film n'arrive pas a être contrebalancé par la justesse de la mise en scène. |